Lundi 7 mars, la répression des fraudes a indiqué que son enquête avait mis en évidence une fraude du constructeur Volkswagen pour minimiser les émissions polluantes de ses véhicules.
Confirmation de la présence d’un logiciel fraudeur
Dans son enquête, la Direction générale de Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) a indiqué que plusieurs « éléments qui montraient le caractère intentionnel de la fraude ». Les investigations « confirment la tromperie sur les véhicules commercialisés en France » a déclaré lundi la directrice de la DGCCRF, Nathalie Homobono, lors de la présentation du bilan annuel de ses services. « Il y avait manifestement dans le logiciel qui pilote les véhicules des morceaux qui pouvaient fausser les résultats lors des contrôles des émissions atmosphériques » a-t-elle précisé.
Les conclusions de l’enquête ont été transmises au procureur de la République. La répression des fraudes françaises avait ouvert une enquête administrative en septembre dernier, suite à la révélation du constructeur d’avoir équipé onze millions de véhicules neufs d’un logiciel permettant de minimiser le niveau d’émission d’oxydes d’azote.
Quelles sont les marques concernées par la fraude ?
5 millions de véhicules Volkswagen
2 millions de véhicules Audi
1,8 million de véhicules utilitaires
1,2 million de véhicules Audi
700 000 Seat
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